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LE PETIT CHAPERON ROUGE

Création pour la 76e édition du Festival d'Avignon
Du 15 au 18 juillet 2022 à la Chapelle des Pénitents Blancs

Tournée saison 2022 - 23 & 2023 - 24 & 2024-25 & 2025-26

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> teaser (viméo)

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Retrouvez

Le Petit Chaperon rouge

en tournée

cette saison !

SYNOPSIS

Le Petit Chaperon rouge est l’un des premiers contes qu’on lit aux enfants, l’un des plus connus. Un conte au charme si envoûtant que des générations d’enfants ont grandi avec lui. C’est celui-là que nous voulons faire entendre à nouveau. Pour la complexité et l’ambivalence des sujets qu’il traverse, aussi denses et noueux que les arbres centenaires, pour l’épaisseur poétique de l’histoire dont la trace perdure en de longs sillons dans nos imaginaires, pour l’imagerie : la forêt, la tâche rouge, le soleil qui éclate dans les canopées sombres.


Mais nous voulons aussi montrer une nouvelle fois Le Petit Chaperon rouge dans la version, puissante, positive et féministe des Frères Grimm, pour faire voir à quel point cette petite fille qui se promène joyeusement dans la forêt n’est pas imprudente ou naïve mais au contraire vaillante et courageuse, traversant les dangers et retournant le sort. Pour faire entendre ce récit initiatique, qui, par-delà les temps et les générations, magnifie la solidarité féminine et raille les affreux loups méchants. Pour faire redécouvrir ce conte émancipateur, beaucoup plus subversif qu’on ne le pense, qui affirme le droit au mystère, au plaisir, à la liberté et à la peur.

Pour la première fois Das Plateau propose un spectacle accessible aux enfants comme aux plus grands. Un spectacle dont l’intensité visuelle et sonore ouvre des paysages sensibles et inédits, à la fois légendaires et quotidiens, imaginaires et familiers, intrigants et rassérénants. Un spectacle envoûtant, créé dans le IN du Festival d'Avignon et salué par le presse, un spectacle d’aujourd’hui pour les enfants de maintenant.

CALENDRIER SAISON 24-25

2024

Les 4 et 5 octobre  L’Azimut, Châtenay-Malabry

Les 10 et 11 octobre • Théâtre du Cormier, Cormeilles-en-Parisis

Du 17 au 19 octobre • Grand Théâtre-Scène Nationale, Albi

Du 21 au 22 novembre Espace des Arts, Chalon-sur-Saône

Les 2 et 3 décembre • Le Volcan, Scène Nationale du Havre

Du 11 au 14 décembre Nouveau Théâtre Besançon - CDN



2025

Les 23 et 24 janvier Théâtre de Cusset

Le 10 mars Théâtre Jean Vilar, Saint-Quentin (Aisne)

Du 13 au 15 mars Culture Commune, Centre Arc en ciel, Liévin

Du 26 au 28 mars MAC, Scène Nationale de Créteil

Les 6 et 7 avril Le Figuier Blanc, Argenteuil

Du 4 au 6 mai Théâtre de Choisy-le-Roi

Les 30 et 31 mai FIAF, New York, États-Unis

+ horaires des représentations et détails de la tournée à télécharger ici

 


dates passées

2023 - 24

Du 16 au 18 octobre • Équinoxe, Scène nationale de Châteauroux

Du 9 au 11 novembre • Théâtre Romain Rolland, Villejuif

Du 15 au 19 novembre • Équilibre-Nuithonie, Fribourg – Villars-sur-Glâne, Suisse

Du 28 novembre au 2 décembre • Théâtre du Beauvaisis, Scène nationale de Beauvais

Du 20 au 22 décembre • Tropique Atrium, Scène nationale de Martinique

Les 9 et 10 janvier • Lux, Scène nationale de Valence
Les 14 et 15 janvier • Théâtre en Dracénie, Draguignan
Les 19 et 20 janvier • Théâtre la Colonne, Miramas
Les 22 et 23 janvier • Scène 55, Mougins
Les 31 janvier et 1er février • Lieu Unique, Scène nationale de Nantes
Du 6 au 10 février • Théâtre de St-Quentin en Yvelines, Scène nationale, à la Ferme Bel-Ébat, Guyancourt
Les 16 et 17 février • Théâtre Le Forum, Fréjus
Du 21 au 23 février • Le Quartz, Scène nationale de Brest
Les 1er et 2 mars • Théâtre Louis Aragon, Scène conventionnée, Tremblay-en-France
Du 14 au 16 mars • La Criée, Théâtre national de Marseille
Les 21 et 22 mars • Théâtre d’Arles
Du 27 au 29 mars • Quinconces L’Espal, Scène nationale du Mans
Les 5 et 6 avril • Théâtre de Laval - Centre National de la Marionnette
Les 18 et 19 avril • Le Trident, Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin
Les 23 et 24 avril • Centre Culturel Jacques Prévert de Villeparisis
Les 28 et 29 avril • Le Reflet, Vevey, Suisse
Du 15 au 18 mai • Théâtre Silvia Monfort, Paris

NB. Le spectacle POINGS sera également programmé au Théâtre Silvia Monfort dans le cadre du FOCUS consacré à Das Plateau +
Du 22 au 24 mai • Théâtre de la cité, CDN de Toulouse
Du 30 mai au 1er juin • Théâtre national de Nice

Du 5 au 7 juin • TAP de Poitiers

2022 - 23

Du 28 au 30 septembre • Théâtre de Châtillon (92)

Du 4 au 15 octobre • Théâtre Nouvelle Génération - CDN, Lyon (69)

Du 24 au 26 novembre • La Villette, Grande halle (75)

Du 30 novembre au 2 décembre • Théâtre de la Ville, Sierre (Suisse)

Du 7 au 9 décembre • Le Grand R, Scène nationale de La Roche-sur-Yon (85)

Du 13 au 17 décembre • Théâtre National de Bretagne, Rennes (35)
Du 11 au 14 janvier • Le Grand Bleu, Scène conventionnée, Lille (59)

Du 17 au 19 janvier • Le Phénix, scène nationale de Valenciennes (59)

Du 23 au 25 janvier • Le Quai, CDN Angers Pays-de-Loire (49)

Le 29 janvier • Festival Momix / CREA, Scène conventionnée, Kingersheim (68)

Du 1er au 4 février • Théâtre Gérard Philipe, CDN, Saint-Denis (93)

Du 9 au 11 février • Théâtre de Sartrouville Yvelines CDN (78)

Du 7 au 9 mars • Théâtre de Brétigny-sur-Orge, scène conventionnée (91)

Du 23 au 25 mars • Nanterre-Amandiers, Maison de la musique de Nanterre (92)

Du 30 mars au 1er avril • Comédie de Colmar, CDN (68)

Du 17 au 22 avril • Théâtre Jean Vilar, Vitry-sur-Scène (94)

Du 11 au 13 mai • MC2 Grenoble - Scène nationale (38)

Du 1er au 3 juin • Ferme du Buisson, scène nationale de Marne-la-Vallée (77)

Du 8 au 10 juin • Comédie, Centre Dramatique national de Reims (51)
 

ÉQUIPE ET PRODUCTION

Le Petit Chaperon rouge 
Texte de Jacob et Wilhelm Grimm
Traduction de Natacha Rimasson-Fertin, Éditions Corti
et des fragments de Futur, ancien, fugitif de Olivier Cadiot 

Mise en scène Céleste Germe
Avec Antoine Oppenheim et Maëlys Ricordeau
En alternance avec Pablo Jupin et Lalou Wysocka
Collaboratrice artistique Maëlys Ricordeau
Musique J. Stambach 
Scénographie James Brandily
Création vidéo Flavie Trichet-Lespagnol
Dispositif son, vidéo Jérôme Tuncer
Lumière Sébastien Lefèvre
Costumes Sabine Schlemmer
Conseils dramaturgiques Marion Stoufflet
Assistanat à la mise en scène Mathilde Wind
Régie générale et plateau Pablo Simonet ou Jules Guy
Régie son et vidéo Louis Petit ou Julien Pittet ou Jérôme Tuncer
Régie lumière Lila Burdet ou Virginie Watrinet ou Sébastien Lefèvre
Réalisation des sculptures Julia Morlot et Jérémy Page
Fabrication de la peau de loup Pascale Dufay
Suivi construction décor Benjamin Bertrand
Montage de production et diffusion Emilie Henin, Léa Coutel 
Administration de tournée et diffusion Bureau Retors Particulier 

Production Das Plateau

Coproduction et résidences Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine, Le Grand R - Scène Nationale de La Roche-sur-Yon
Coproduction Théâtre Nouvelle Génération - CDN de Lyon, Nanterre-Amandiers - CDN, La Comédie de Colmar - CDN Grand Est Alsace, Comédie de Reims - CDN, Théâtre Brétigny - Scène Conventionnée d’Intérêt National Arts & Humanités, Théâtre Gérard Philipe -  CDN de Saint-Denis, La Villette, Paris - Initiatives d’artistes, CRÉA - Festival Momix - Scène Conventionnée d’Intérêt National Art, Enfance, Jeunesse (Kingersheim), Théâtre National de Bretagne - CDN de Rennes, Le Grand Bleu - Scène Conventionnée d’Intérêt National Art, Enfance et Jeunesse (Lille), Festival d’Avignon
Résidence Ferme du Buisson - Scène Nationale de Marne-la-Vallée
Soutiens Théâtre Brétigny - Scène Conventionnée
Avec le soutien du Fond de production de la DGCA, de la région Île-de-France et du Département du Val-de-Marne
La compagnie est conventionnée par la DRAC Ile-de-France
Action financée par la Région Île-de-France, Fonds de production de la DGCA, le Département du Val-de-Marne
Das Plateau est conventionné par la DRAC Île-de-France et soutenu par la Région Ile-de-France au titre de l’aide à la permanence artistique et culturelle.


 

PRESSE

Fabienne Darge pour Le Monde
Au Festival d’Avignon, s’enfoncer avec bonheur dans la forêt du « Petit Chaperon rouge »
« Cette liberté acquise par le Petit Chaperon rouge se retrouve sur le plateau, qui emmène dans un voyage immersif et un joli jeu de miroirs, de diffractions et de doubles. Rien n’est conté de manière platement réaliste. On est comme dans un vaste jeu d’enfants, qui auraient entre leurs mains tous les moyens du théâtre d’aujourd’hui pour créer leur monde imaginaire. La forêt est infiniment palpitante et profonde, grâce à un dispositif de miroirs sans tain, d’écran et de projections vidéo. Le Chaperon est à la fois une figurine archétypale, de taille réelle, et jouée par une comédienne adulte - Maëlys Ricordeau, excellente à ce jeu. Idem pour le Loup, qu’endosse Antoine Oppenheim. (...) On s’enfonce avec bonheur dans cette forêt-là, où le visible et l’invisible vont main dans la main, au rythme dansant et allègre d’une petite fille intrépide. »

Igor Hansen-Love pour Les Inrockuptibles

Le premier spectacle jeunesse de Das Plateau se dévore comme un livre animé.

« Le résultat est un petit bijou de délicatesse et d'intelligence. On retrouve le style cultivé par Das Plateau, découvert dans l'excellent Poings (...) On salue aussi et surtout la justesse de ton, jamais infantilisante, jamais surplombante. Das Plateau s'adresse à l'esprit de ses jeunes spectateurs et spectatrices. L'adulte goûtera l'ampleur des angoisses et la richesse du monde qui est dépeint ici. Ce Petit Chaperon rouge est un véritable émerveillement tout public.»

Marie Plantin pour Scèneweb
Avec Le Petit Chaperon rouge, une fois n’est pas coutume, le collectif Das Plateau se confronte à la création jeune public et le résultat est une pépite d’une beauté esthétique bouleversante qui creuse aux racines du conte des frères Grimm pour mieux en extraire la vision optimiste et roborative.
« Les personnages de la mère, du Petit Chaperon rouge et de la grand-mère sont pris en charge par Maëlys Ricordeau tandis que le loup est l’affaire d’Antoine Oppenheim. Tous les deux sont merveilleux, d’une justesse et d’une sobriété radieuse, avec une pointe d’espièglerie bienvenue. (...) Tout, dans ce spectacle sombre et lumineux à la fois, est remarquable de délicatesse et d’intelligence. (...) A l’aune de la révolution sociétale à l’œuvre, à l’heure où il est temps d’élever nos enfants en conscience, ce spectacle d’une beauté époustouflante invite à repenser les récits que l’on transmet et souffle un vent régénérant. »

Catherine Robert pour La Terrasse
Le collectif Das Plateau s’empare de la version des frères Grimm du Petit Chaperon rouge. Solide talent d’Antoine Oppenheim et Maëlys Ricordeau au jeu et sublimes images en guise d’écrin.

« Yvonne Verdier fut la première à faire émerger une lecture féminine de l’histoire du petit chaperon rouge. La magnifique scène initiale du spectacle du collectif Das Plateau, où celle qui raconte est occupée à coudre, entre aiguilles et épingles, est comme un hommage subliminal au patient travail de la grande ethnologue. L’image, rouge comme le sang de la dévoration, de la défloration et du chaperon, ouvre alors naturellement sur une lecture résolument féministe de l’œuvre, dont la dernière vision nous apprend qu’il n’est peut-être plus désormais indispensable de s’enfermer, de se cloîtrer voire de se chaperonner pour échapper à l’appétit du loup. Les ronfleurs repus devraient se méfier : depuis que les femmes ont pris goût à la liberté, elles manient les ciseaux aussi bien que le fil. (...) Si la morale de l’histoire et la manière dont Antoine Oppenheim et Maëlys Ricordeau la racontent sont joyeuses, la façon de la camper est magnifique. Les images de Flavie Trichet-Lespagnol sont sublimes et l’impression de magie que font naître les talents réunis de Jacob Stambach (musique), James Brandily (scénographie), Sébastien Lefèvre (lumière) et Jérôme Tuncer (son et vidéo), est sidérante. L’ensemble compose un spectacle éblouissant et jubilatoire. »

Amélie Blaustein Niddam pour Toute la culture
Le Petit Chaperon rouge, le grand spectacle de Das Plateau

« Qu’allait faire ce collectif si proche des arts visuels du célèbre conte des Grimm ? Et bien une œuvre d’art vivante. Énorme coup de cœur pour ce Chaperon (...) C’est d’une puissance inouïe.»

Samuel Gleyze-Esteban pour L’Oeil d’Olivier
Pour sa première venue dans le Festival, la compagnie Das Plateau donne une version sombre et cérébrale du Petit Chaperon rouge. Avec ce spectacle jeune public, la metteuse en scène Céleste Germe signe l’une des propositions visuelles les plus enlevées de la sélection.
« Expérience avignonnaise, un matin torride de mi-festival : se laisser prendre par la main et mener jusque dans les terreurs ténébreuses de l’enfance, avec Das Plateau pour guide. Passer comme des seuils hypnotiques les étapes du Petit Chaperon rouge, ce récit si structurant de nos imaginaires. On voyait pour la dernière fois la compagnie à l’œuvre dans Poings, une peinture labyrinthique des violences conjugales. On connaît la sensibilité prestidigitatrice de Céleste Germe, metteuse en scène doublée d’une architecte, Maëlys Ricordeau, comédienne et collaboratrice artistique, et James Brandily, scénographe. (...) L’incroyable collectif Das Plateau avance avec la croyance chevillée au corps que l’on peut montrer des images complexes aux enfants. Et joue à un jeu passionnant avec les limites du montrable, là où peut naître l’émoi esthétique. Il semble qu’une grande partie du jeune public s’en accommode bien. Quant à nous, face au pouvoir d’envoûtement de ce Petit Chaperon rouge, nous aurons partagé cette excitation comme si c’était la première.

Maïa Bouteillet pour Paris Mômes
Une version qui s’appuie sur Grimm pour déployer une forêt de nuances et d’émotions.
« L’enfant assiste en même temps à l’histoire et à sa fabrication ce qui n’empêche en rien la magie du théâtre, presque au contraire. Dès lors que Maëlys Ricordeau saisit un petit fichu de dentelle, son corps se courbe, sa voix prend un tour chevrotant et la grand-mère prend vie (...) Les différentes dimensions s’entremêlent et c’est pourtant très clair. Le trouble, les sentiments mêlés, la confusion des mondes, les glissements de l’ombre à la lumière, le grave et le léger... tout cela s’exprime de façon merveilleuse dans les scènes de forêt qui révèlent la dimension proprement extraordinaire de cet espace du sauvage et des tentations. C’est donc une lecture très différente de celle de Joël Pommerat que livre la metteuse en scène Céleste Germe et ses complices de la compagnie Das Plateau. Une lecture qui cherche d’avantage du côté des rapports homme femme. Et une nouvelle preuve de l’inépuisable richesse de ces contes pluriséculaires que l’on dit pour enfants mais qui au fond s’adressent à tous. »

Marie-Eve Barbier pour La Provence
Festival d’Avignon - «Le Petit Chaperon rouge» : la peur, c’est bon!
« On trouve souvent des petits bijoux parmi les propositions jeune public du Festival d’Avignon. C’est le cas du Petit Chaperon rouge de la compagnie Das Plateau, par les comédiens Antoine Oppenheim et Maëlys Ricordeau, dirigés par l’architecte et metteuse en scène Céleste Germe. (...) On a peur, on tremble, et on se libère de sa peur. C’est si bon, un ressort vieux comme le monde et comme les contes initiatiques. »

Nathalie Simon pour Théâtral Magazine
Un petit Chaperon rouge émancipé
« La forêt que le petit Chaperon rouge traverse pour rejoindre la maison de l’aïeule est transcendée par la scénographie élégante (James Brandily) et les lumières tamisées (Sébastien Lefèvre). Le somptueux tissu écarlate qui tapisse le sol, le miroir sans tain qui reflète les protagonistes sans oublier les mélodies pour orgues et harpes dessinent un cheminement initiatique net et sans bavure. Deux remarquables comédiens, Antoine Oppenheim et Maëlys Ricordeau mettent en scène tour à tour les protagonistes principaux, accordant leur voix
sur mesure (...) Voici un spectacle épuré, magnifique, presque grandiloquent dans le raffinement qui comblera également les adultes. »

Marie-Valentine Chaudon pour Le Figaro

« A l’instar des frères Grimm et de leur Petit Chaperon rouge, le collectif Das Plateau propose dans le In une version féministe dans laquelle la fillette est plus lucide et adulte qu’on ne l’imagine habituellement. (...) Le conte originel est complété avec pertinence par des extraits de Futur, ancien, fugitif d’Olivier Cadiot et mis en scène par Céleste Germe, dans une forêt magnifiée par James Brandily.»

Marc Roudier pour Inferno Magazine

« Un Chaperon extrêmement esthétique, qui porte loin dans les limbes le conte des frères Grimm, au coeur de nos fantasmes et de nos peurs d’enfants. »

Marie-Félicia Alibert pour Vaucluse Matin

« Le spectateur est plongé dans les pages d’un livre d’enfant, avec ses images en deux dimensions, et dans les affres de son intériorité. Immergé dans cette immense forêt baignée de trous de lumière, le public bascule dans l’univers du conte et laisse libre cours à son imagination. Et chez les frères Grimm, tout est bien qui finit bien...»

Jean Couturier pour Theatredublog

« La dimension magique de ce travail, d’une rigueur et précision remarquable, marquera favorablement les mémoires du jeune public et l’incitera sûrement à revenir au un théâtre et à lui en donner le goût. »

Frère Thierry Hubert pour lejourduseigneur.com

« Le petit chaperon rouge a habité ces jours derniers la Chapelle des pertinents blancs en lui offrant son conte avec une puissance onirique décuplée et une interprétation renouvelée. Une merveille ! »

Apartesjournal.fr
Un dispositif fascinant
« Pour imager la narration du conte, Das Plateau a élaboré un dispositif plastique des plus merveilleux avec des jeux de miroirs qui projettent les reflets de tableaux-paysages (...) Pari réussi, la capacité d’imagination du public est démultipliée dans ce kaléidoscope enchanteur. Les comédiens, entre ombre et lumière, offrent un jeu tout en proximité réfléchissant la parole émancipatrice et libératoire de cette version du conte. »

Max Loiseau pour Theatreactu
Avignon IN - Le Petit Chaperon rouge, où se perdre est une vertu et subir n’est pas un crime
« S’inspirant du jeu conté, Maëlys Ricordeau et Antoine Oppenheim passent comiquement de l’un à l’autre et spatialisent leur jeu en conséquence, créant même des seuils intermédiaires entre ces deux pôles : raconter- devenir. Tout en respectant le texte, la narration prend la liberté d’un mode répétitif et parfois énumératif, presque rituel, qui donne l’impression vertigineuse de se perdre dans les phrases en même temps que dans les images. »

Szenik.eu

« Renversement de focale direction solidarité féminine et force vitale de l’enfance, magie visuelle de miroirs sans tain et autres techniques holographiques au programme d’une création à la fois revisitée et fidèle à ses sources. »

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